Alors que dynamo est de plus en plus employé sur des projets faisant intervenir un nombre important de collaborateurs et que les scripts deviennent des livrables, la question d’un standard graphique se pose.
Il serait en effet de bon goût d’avoir un « gabarit » permettant à l’expert comme au débutant de reconnaître les différentes parties composant une définition Dynamo en un clin d’oeil.
Vladimir Ondejcik du studio d’architecture White arkitekter AB s’est penché sur la question et propose dans un post sur le blog DynamoBIM la solution mise en place au sein de son agence. Celle-ci est issue de l’expérience de la firme sur GrassHopper.
Le standard de White arkitekter consiste en une documentation décrivant la procédure pour démarrer la création d’un script, des informations utiles sur les packages ainsi qu’un certain nombre de règles d’organisation visuelle et d’annotations avec un code couleur. Les packages de l’agences sont regroupés sur le serveur et sont gérés de manière centralisée.
Le standard Dynamo peut être déployé sur chaque script. Il est constitué de quatre parties:
- Les informations sur le projet
- Le code couleur
- L’interface utilisateur
- Le code visuel à proprement parler

Cette démarche de standardisation du code visuel permet une meilleur compréhension de l’anatomie d’un script. Elle peut à terme encourager les usagers débutants à interagir de façon plus sereine avec l’interface graphique du logiciel, voire à commencer à développer leurs propres définitions.